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Dialogue bilingue Diálogo bilingüe

19 avril 2009

L'image ancienne d'une femme féministe. La vieja imagen de una mujer feminista.

Pour la tête qu'on fait les gens lorsque je m'addressai à eux, on dirait qu'on ne peut pas être féministe et vouloir se marier avec une belle robe ivoire à tomber par terre, ni aimer faire la cuisine, le tricot aux aiguilles et au crochet, et encore moins choisir de devenir une mère au foyer jusqu'à la rentrée en école maternelle du nouveau né.

Je pensais que lorsque je dis féministe, je voulais dire que je croyais qu'une femme a le droit de voter, d'étudier et travailler, d'être indépendante lors de sa prise de parole. Je pensais qu'être féministe voulait dire "être pour l'épanouissement de la femme, pour sa liberté d'être et d'expression". Je pensais que je voulais affirmer que je ne reconnaissais aucun pouvoir politique, religieux ni quiconque capable de réduire une femme au silence ou à la passivité dans la société.

Mais je me suis rendue compte que l'image d'une femme féministe était devenue une femme qui étudie, travaille, de préference ne fait pas des enfants ou les fait vite-fait bien-fait en 4 mois de congés et continue à travailler et à se tuer à la tâche d'acheter tout fait (les plats, les vêtements, les gâteaux) parce qu'elle n'a pas le temps de rien faire elle-même parce que son temps libre le passe avec des amies buvant de l'alcool et fumant, au salon de bien-être en se faisant masser et au gymnasium faisant des kilomètres dans une tenue taille XS ou small.

Avec tout les respect que je ressens pour les femmes du '68, je me permets de dire mon avis féministe de 40 ans plus tard: une féministe a surtout le droit de faire sa vie comme elle l'entend. Ce qui inclus le fait de se marier et de s'habiller comme une reine si elle le veut bien, d'avoir des enfants quand elle veut et autant qu'elle veut, de travailler où elle veut, de savoir faire ce qu'elle a envie d'apprendre (inclus la cuisine, le tricot et le crochet...) et de pouvoir choisir de rester à la maison pour s'occuper de ses anfants si elle le veut bien (et bon, si elle peut économiquement  parce que son partenaire de vie la laisse choisir et reste solidaire avec son projet de vie).

Et dans votre imaginaire silencieux, quelle est l'image de femme libre que vous avez?

VERSION EN CASTELLANO

Por la cara que puso la gente cuando me dirigí a ellos, diría que uno no puede ser feminista y al mismo tiempo querer casarse con un lindo vestido color crema hecho para quedarse con la boca abierta. A uno tampoco puede gustarle cocinar, ni tejer con palillos y ganchillo, et todavía menos elegir transformarse en mamá dueña de casa hasta el día que el recién nacido entre al jardín infantil.

Yo creía que cuando uno decía feminista, quería decir que creía que una mujer tiene el derecho de votarm estudiar y trabajar, ser independiente cuando opinaba. Creía aue ser feminista quería decir "estar por el desarrollo de las capacidades de una mujer, por su libertad y libre expresión". Yo creía que yo afirmaba el hecho de no reconocer ningún poder político ni religioso ni ninguno capaz de reducir la mujer al silencio o a la pasividad en la sociedad.

Sin embargom me dí cuenta que la imagen de una mujer feminista se transformó en una mujer que estudia, trabaja, de preferencia no tiene hijos o los hace rapidito en 4 meses de pemiso y continúa a trabajar y a matarse en la tarea de co;prar todo hecho (la comida, la ropa, los pasteles) poruee ella no tiene tie;po de hacer nada a mano porque su poco tie,po libre lo pasa con sus amigas bebiendo alcohol y fumando, en un salón de relajación recibiendo un masaje y en el gimnasio haciendo kilómetros en una tenida talla XS o small.

Con todo el respeto aue siento por las mujeres del '68, me permito dar mi opinión feminista de 40 años más tarde: una feminista tiene sobretodo el derechode hacer su vida tal y como lo desea. Lo que incluye el hechode casarse vestida como una reina si le da la gana, tener hijos cuándo y cuántos quierem trabajar donde le apetece, y saber hacer todo lo que ha querido aprender (incluídos la cocina, el tejido a palillos y a ganchillo...) y poder elegir quedarse en casa para cuidar sus hijos si ella quiere (y bueno, si ella puede económicamente porque su compañero de vida la deja elegir y es solidario con los proyectos de vida de ella).

Y en su imaginación silenciosa, cuál es la imagen de mujer libre que usted tiene?

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16 avril 2009

Cendrillon ou le mensonge goût à gâteau. Cenicienta o la mentira gusto a pastel.

Quelqu'un pourrait bien m'expliquer pourquoi dans le conte Cendrillon c'est la marâtre méchante qui donne les corvées domestiques à la pauvre jeune-fille et le Prince charmant qui vient la sauver de ce triste destin?

Et pourquoi dans la vraie vie de la plupart des femmes que je connais le conte est à l'envers? C'est-à-dire la jeune fille ne fait rien à la maison (parce que c'est sa mère ou sa belle-mère qui fait tout)... jusqu'au jour "de noces".

Parce que c'est elle qui fait tout après le mariage avec le Prince charmant: elle a un lot de répassage, et une longue liste de choses à faire, ménage et lessive de quoi s'occuper, mise à part les enfants, que c'est un autre lot de boulot -les laver, habiller, donner à manger, laver encore, changer-...

Mais la question essentiel : pourquoi on continue d'acheter et de lire ce conte à nos filles?!

VERSION EN CASTELLANO

Alguien podría explicarme por qué en el cuento de Cenicienta es la madrastra malvada quien le da las tareas domésticas a la pobre jovencita y el Príncipe azul quien viene a salvarla de ese triste destino?

Y por qué en la verdadera vida de la mayoría de las mujeres que conozco el cuento es al revés? Es decir, la jovencita no hace nada en la casa (porque es su madre o la esposa de su padre que hace todo)... hasta el día de "la boda".

Porque es ella quien hace todo después del matrimonio con el Príncipe azul: ella tiene un alto de ropa para planchar, y una lista de cosas por hacer, aseo y lavado de ropa de qué ocuparse, y eso sin tomar en cuenta los niños, que son otro lote de trabajo- lavarlos, vestirlos, darles de comer, lavarlos de nuevo, cambiarlos-...

Pero la pregunta esencial: por qué continuamos comprando y leyéndoles ese cuento a nuestras hijas?

16 avril 2009

Une décision qui changera le CV. Una decisión que cambiará el Curriculum Vitae.

Chaque choix a ses conséquences. Néanmoins, la femme qui tombe enceinte doit en faire un qui pourra transformer sa vie, notamment professionnel. Après accoucher, prendre les 6 semaines? Et ensuite les vacances aussi? Ou un congès parental?

Les dispositions légales du Code du travail changent beaucoup d'un pays à l'autre concernant la suite professionnelle d'une femme qui devient mère.

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce qui fait la loi c'est plutôt la coutume de chaque milieu proffessionnel.

Encore maintenant, en 2009, la coutume c'est que sont seulement les hommes qui ont des postes à responsabilités, donc les congés d'une mère font tâche dans les machines bien huilées de la "vie au bureau".

Et pourquoi j'ose aséverer tout cela? Parce que dans mon entourage les femmes dans "un bon poste" ou "qui ont un bon travail" me disent qu'elles "n'ont pas le choix". Six semaines après l'accouchement la coutume est de retourner au poste comme si de rien n'était.

Pour ceux qui ont pris un bébé de 6 semaines dans leurs bras et pour les spécialistes de la petite enfance la conclusion est sans appel: la décision d'éloigner un nouveau né de moins de 6 mois de sa mère ne va pas dans le sens de l'intérêt du nouveau né.

Alors, actuellement en France, après plusieurs années d'études, un diplôme et quelques années d'expérience, une femme devra choisir entre son métier et son rôle de mère à temps plein.

Les lois sont imparfaites comme les êtres humains. Mais le plus triste c'est de constater que l'image de femme parfaite en professionnelle réussie, bonne mère et belle épouse c'est un terrible mensonge de la société qu'on découvre au moment de comprendre qu'on ne peut pas demander un congés parental si on veut garder LE poste qu'on a pu obtenir, qu'on n'a pas le temps d'être mère à temps plein.

On comprend également que le choix de prendre un long congé parental (1 à 3 ans) aura des pénalités professionnelles viendront au moment de retourer au travail. En revanche, les pénalités financières viendront toute de suite et au moment de la retraite.

Toutes ces pénalités trouvent son origine dans le fait que garder un bébé et s'occuper de la maison toute la journée n'est pas pris en considération comme un travail à temps plein. Mais comme son antipode, des vacances, un congé heureux loin des "importantes" responsabilités.

J'espère sincérement qu'un jour le choix de tomber enceinte ne soit pas une croix de chemins où vie professionnelle et vie de mère à temps plein soient des sentiers irréconciliables qui aménent à des destins si différents.

Pourquoi ne pourraient-ils être des saisons comme le printemps et l'été et se succeder en harmonie?

VERSION EN CASTELLANO

Cada decisión tiene sus consecuencias. Sin embargo, la mujer embarazada debe tomar una que podría transformar su vida, especialmente profesional. Después de dar a luz, tomar el permiso post-natal? Y luego las vacaciones también? O un permiso sin goce de sueldo?

Las disposiciones legales del Código del trabajo cambian mucho de un país a otro en lo que concierne el futuro profesional de una mujer que da a luz.

Contrariamente a lo que se cree, lo que hace la ley es la costumbre de cada profesión.

Y todavía, en 2009, la costumbre es que sólo los hombres tienen puestos de responsabilidad, por lo que los permisos o vacaciones de una madre son una nota discordante en medio de la maquinaria de la perfecta vida de oficina.

Y por qué me atrevo a afirmar todo eso? Porque las mujeres d emi entorno que tienen "un buen puesto" o "un buen trabajo" me dicen "no tengo elección". Seis semanas después del parto la costumbre es volver al trabajo como si nada hubiera pasado.

Para todos aquellos que han tomado en brazos un bébé de 6 semanas y para los especialistas de la 1a infancia la conclusión es terrible: alejar un bébé de su madre antes de los 6 meses es una decisión que no vela por el interés del recién nacido.

Actualmente en Francia, entonces, después de varios años de estudio, un diploma y algunos años de experiencia en el trabajo, una mujer deberá elegir entre su profesión y su rol de madre a tiempo completo.

Las leyes son imperfectas como los seres humanos. Pero lo más triste es constatar que la imagen de la mujer perfecta en profesional exitosa, buena madre y bella esposa es una terrible mentira de la sociedad que se descubre cuando comprendemos que no podemos pedir un permiso sin goce de sueldo si queremos guardar EL puesto que habíamos podido obtener, que no tenemos tiempo para ser madres a tiempo completo.

Comprendemos también que elegir un largo permiso sin goce de sueldo (1 a 3 años) nos hará sufrir penalidades profesionales cuando querramos volver al trabajo. Por el contrario, las penalidades financieras llegarán enseguida y además durante la jubilación.

Todas esas penalidades encuentran su origen en el hecho que cuidar su bébé y ocuparse de la casa todo el día no es considerado como un trabajo a tiempo completo, sino como su antípoda: vacaciones o un feliz reposo lejos de las responsabilidades "importantes".

Espero sinceramente que un día la elección de quedar embarazada no sea un cruce de caminos donde la vida profesional y la vida de madre a tiempo completo sean senderos irreconciliables que llevan a destinos tan diferentes.

Por qué no podrían ser como las estaciones de primavera y verano que se suceden en armonía?

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